Tout
en révisant mon texte une dernière fois, je suis en train de visionner
l’épisode 69 de Naruto... Y a pas à dire, Kakashi-senseï a vraiment une voix
qui vous fait vibrer! Maintenant que ma fic est terminée, je me dis que j’aurai
peut-être dû y glisser une allusion quelconque. Mais là... J’ai trop la
fleeeeeeemme! ^^;;
À
vi, vous avez bien lu! Ce poste est la dernière partie de la fic. Cette
fois-ci, plus de coupure au mauvais moment! N’est-ce pas, Machan? ;-P
Euuuuh,
un chtiot peu plus hard que la 1bis/2, mais bon, j’ai fait pire, et puis...
bref, vous verrez par vous-mêmes! Dans tous les cas, j’espère que ça vous
plaira!
Vous
retrouverez aussi Pakkun et the
révélation: avec qui Naruto va bien pouvoir se consoler de la perte de son
bien-aimé Sasuke? (hum... jsais pas pourquoi, je sais de mauvaises ondes
m’entourer, là...)
Bon,
pas la peine de vous tenir la jambe plus longtemps, je laisse place à l’action.
À
vos marques, prêtes (oups, désolée Ethan!), je veux dire “prêts”, lisez!
...
Euh,
dernier ptit truc, spéc’dédicace à Mydaya qui m’a décidé à décoincer un peu
mister “tranquille-je-me-la-coule-douce” Kakashi-senseï!
C’est
tout cette fois!
Six ans plus tard
_suite et fin_
«Le plaisir que je vous donne...» À
présent, Kakashi ne pouvait plus se le cacher. Qu’il participe ou pas, qu’il
tente et parvienne à rester de glace ou qu’il y échoue, il ne pouvait plus
revenir en arrière. Il devrait vivre avec ce qui était en train de se passer en
cette nuit d’été et il ne dépendait que de lui pour que ce souvenir soit bon ou
mauvais. Mais une pensée à ses compagnons tués, dont le mémorial rappelait le
sort funeste par sa présence imposante, vint entacher le raisonnement qui
commençait à se faire jour en lui. Il entendit les gémissements qu’il ne pouvait
plus retenir s’évader entre les portes de ses lèvres, et aussitôt le remords le
reprit. Cependant, ce coup-ci, le jounin était bien décidé à en finir une fois
pour toutes avec cette culpabilité imbécile. De plus, Pakkun avait raison: le
gosse Uchiwa avait bien grandi et semblait plus que résolu. Mais tous ces
ninjas dont il avait causé la mort... Qu’est-ce que Sasuke avait dit à ce
sujet, déjà? Et d’ailleurs, qu’est-ce qu’il faisait depuis tout ce temps que le
jounin avait passé perdu dans ses pensées? “Non, je reformule.” Qu’est-ce qu’il
était en train de faire, là!
...
“Oh-mon-Dieu.”
“Enclenchement de la phase numéro
trois.” pensa Sasuke, un sourire narquois sur les lèvres. Un instant plus tôt,
sa victime lui avait semblé se déconnecter de la situation. D’abord offusqué
que quelqu’un puisse l’ignorer — surtout dans un moment pareil! — il s’était
vite repris: ce jounin un peu trop étourdi allait rapidement ne plus pouvoir
méconnaître ses attentions. Et vu comment son corps réagissait alors que son
esprit était parti à la chasse aux papillons, il ne doutait plus de la réussite
de sa technique. Enfin, autant profiter de ce moment d’absence pour s’occuper
de lui sans s’inquiéter de sa fuite. Abandonnant la gorge du guerrier aux
cheveux gris, il descendit, apposant une marque luisante sur son passage
jusqu’à son torse. Un instant, il se recueillit en son centre, là où les
battements de ce cœur qu’il avait affolé et qui, par sa faute, battait un tempo
vif et irrégulier se sentaient le mieux. Il savoura leur rythmique sous ses
lèvres aux pulsations lourdes, comme si sa bouche était un troisième cœur perdu
entre eux deux et dont le plus cher désir était de battre en accord avec
l’autre. Puis, laissant ce repos délicieux, il ôta du téton la main qui le
titillait pour la remplacer par sa bouche. Les battements s’accélérèrent d’un
cran. Cette deuxième main, à présent vacante, il fallait bien l’occuper, non? Lentement,
tremblant de se refuser à des gestes brusques et affamés, Sasuke la fit
cheminer sur le ventre ferme et les pas de sa consœur. Consœur par ailleurs
toujours fort accaparée et dont l’application se voyait récompensée. Les
muscles qu’elle caressait, totalement détendus, étaient prêts pour l’étape
suivant la troisième. “Car la technique des trois paliers fleurit toujours deux
fois.” s’amusa intérieurement le ténébreux ninja. L’autre main poursuivait
posément son parcours, contenant à grand peine sa fébrilité. Mais lorsqu’elle
arriva où sa jumelle avait bifurqué, elle cessa de marcher en terrain connu et
continua tout droit en direction de la forêt jusqu’ici ignorée. Elle en atteint
la lisière et des boucles grises s’enroulèrent autour de ses doigts. L’Uchiwa
savait qu’il ne pourrait plus se retenir très longtemps. Déjà, les suçons qu’il
apposait sur les pectoraux du jounin s’étaient transformés en mordillements. Il
avait faim de cet homme. Il le lui fallait. Maintenant. Sasuke grogna de
frustration. Son érection le faisait souffrir le martyr et, inconsciemment, il
tentait de la soulager en se frottant contre l’aine de son ancien professeur. C’est
alors que le dit professeur revint au monde.
Un
tiraillement humide qui lui lançait des étincelles de plaisir sur toute la
surface de son torse, son intimité dressée qu’excitait le va-et-vient appuyé et
chaud d’une cuisse et la présence moite de doigts qui se glissaient en lui,
voilà ce que remarqua tout d’abord Hatake. Et s’il ne venait pas de décider de
façon toute à fait libre et arbitraire de répondre aux caresses de son
ténébreux, assidu et si doué amant, il y aurait céder à l’instant même. Alors
qu’il se laissait aller sans plus retenue, desserrant ses doigts et libérant
enfin ses gémissements de la prison de ses lèvres, son esprit confus se demanda
vaguement où se trouvait la deuxième mimine du jeune homme. Ses yeux
s’écarquillèrent quand il la situa, et un gémissement, plus long et plus fort
que les autres, fut porté par son souffle. L’entendant, Sasuke releva la tête
et lui sourit. Un sourire coquin, facétieux et moqueur qui illumina son visage
d’adolescent plein de gravité. Et dans ses yeux noirs comme deux gouffres, qui
semblaient aspirer la lumière du clair de lune, le scintillement du désir et de
la volupté. Kakashi sut alors qu’il était irrémédiablement et sans secours
possible... amoureux. Le sourire s’étendit en une douce promesse teintée
d’espièglerie. Un mouvement de son bras. Le jounin aux cheveux gris fut secoué
d’un hoquet qui se transforma rapidement en râle. La main avait atteint son
but. Ses doigts frôlaient sa virilité, et chaque contact électrisait son
bas-ventre. N’en pouvant plus, Hatake saisit la chevelure de Sasuke et monta
rudement son visage jusqu’au sien. Il l’embrassa avec violence. L’Uchiwa, trop
heureux de pouvoir enfin laisser libre cours à sa passion, y répondit de même. Dans
son emportement, il eut la réaction que le ninja espérait et resserra son
poing, enrobant la totalité de la verge. “Étape numéro trois: troisième palier
franchi.” Kakashi se mit à onduler du bassin tout en bataillant avec sa langue:
chacun des jounin cherchait obstinément à conquérir la bouche de l’autre. Mais
si Sasuke n’avait que cet échange sur lequel se concentrer, ce n’était pas le
cas de son ancien professeur. Ses coups de reins devenaient de plus en plus
rapides, il sentait le plaisir monter et déjà se désintéressait de la lutte
orale que le ténébreux ninja se faisait fort de gagner. Les doigts de celui-ci
le pénétraient en rythme et toujours plus profondément. Haletant, perdu dans
l’ordre de ses respirations, Hatake s’arracha à l’appétit féroce de son
partenaire et rejeta sa tête en arrière afin de retrouver son souffle. Sasuke,
déclaré vainqueur, retourna à ses premières amours et reprit tour à tour le
mordillement de l’oreille et ceux du torse, blessant de ses cruelles quenottes
les douces et roses aréoles au toucher soyeux. Le jounin aux cheveux gris
n’était plus que râles et gémissements. Il lui semblait devenu impossible de
respirer en silence, qu’une telle jouissance ne saurait être inexprimée. Cependant,
même aux confins de la conscience, là où l’esprit hésite entre l’euphorie des
cimes et l’abandon des abîmes, un détail l’empêchait de se livrer entièrement
aux sensations qui s’unissaient pour
l’emporter et le noyer au loin. Sasuke lui donnait du plaisir et n’en recevait
pas. Kakashi tenta de se relever, mais aussitôt le jeune homme le plaqua de
nouveau au sol d’un baiser furieux. Puis sa bouche glissa vers l’oreille.
«Je
suis celui qui dirige ce soir, Kakashi.»
Le
nommé frissonna au son de la voix rauque et voilée de désir avec laquelle le
jeune éphèbe l’avait appelé. Il y eut un petit rire.
«Et
puis, l’honneur des Uchiwa me commande d’être au-dessus.
—
Si ça peut te... faire plaisir, haleta le jounin.
—
Au moins pour la première fois.
—
Il y en aura donc d’autres...»
Hatake
ne réalisa qu’il avait parlé à voix haute que lorsque le jeune ninja lui
répondit.
«Bien
sûr! Vous venez de contracter une dette envers moi, Kakashi Hatake. Et j’ai
bien l’intention de vous la faire payer.
—
Du moment... que tu me lai... me laisses pa... passsssser... mes matinées au
lit... nous devrions... pouvoir trouver... un ter... rain d’en... tente... Sasuke-kun! Hummm...»
Enfin
libre de se donner totalement, le ninja aux yeux vairons plaqua d’instinct
contre lui le bassin du jeune homme et entreprit rapidement, avant que
l’orgasme ne fût atteint, de lui ôter sa chemise et son gilet. Une poignée de
secondes plus tard, le sombre jounin frissonnait au contact de l’air nocturne. Son
compagnon l’admirait. Les rayons de la lune peignaient la peau de ses épaules
et son dos d’adolescent d’un bleu opalescent.
Tout
à coup, Kakashi eut un violent sursaut. L’Uchiwa, novice encore malgré sa
connaissance de la technique des trois paliers, venait de trouver ce point si
sensible chez les hommes.
«Sasu...ke...»
gémit le ninja.
L’interpellé
resserra sa prise sur la virilité. Déjà des gouttes perlaient qui venaient se
glisser le long de ses doigts. Son autre main effleura de nouveau la zone qui
avait si bien enflammé l’ex-anbu, et l’enflamma de nouveau tout autant. Maintenant
qu’il l’avait repérée, il la frôla au rythme des va-et-vient de l’homme étendu
sous son corps. Les doigts crispés et la tête renversée en arrière, le torse
collé contre celui, enfin dénudé, du beau brun ténébreux, Kakashi se perdait
entre ses bras. La jouissance l’emportait tout entier. Chaque muscle de son
corps se convulsa.
«Sa...
Sasuke... je v...»
Son
amant le fit taire d’un baiser tandis que le jounin se déversait entre ses
doigts. Puis il retomba sur le sol, rassasié et las, alangui par un trop-plein
de sensations qui persistaient, dernières braises du brasier qui venait de le
dévorer. Petit à petit, il repris conscience du monde autour d’eux. L’herbe
humide qui chatouillait son dos. Les oiseaux de nuit dans la forêt toute
proche. Il appréciait que Sasuke reste encore un peu en lui. Sasuke qui venait
de s’effondrer sur son corps. Kakashi le soupçonna de n’avoir pas attendu pour
récupérer une partie de sa dette.
«Alors...?»
La
voix de l’Uchiwa paraissait mal assurée, comme s’il craignait, par une pudeur
étrange, de révéler que lui aussi avait apprécié.
«...
Kakashi, trouves-tu que cette vie vaut la peine d’être vécue?»
Le
ninja le contempla, le visage pensif.
«Cette
vie-ci...?»
Sa
main vint caresser la joue du sombre adolescent.
«Oui,
pour celle-ci, on peut vivre et se battre.» répondit-il en récupérant une
chemise et en en couvrant son compagnon.
Sasuke
le regarda gravement. Lentement, il se pencha vers lui et l’embrassa avec
délicatesse, d’un baiser aussi pur et innocent que devait l’être le tout
premier.
À quelques mètres de là, les branches
d’un buisson bruissèrent. Du côté opposé aux deux amants, une ombre en sortit. Elle
était courte sur pattes et un bandeau frontal brillait à son avant. Quand elle
atteint le village, les lumières révélèrent qu’il s’agissait d’un mignon petit
chien. Il tourna deux fois à droite, une fois à gauche, une fois à droite puis
à gauche encore et continua tout droit jusqu’à la boutique de ramen. Il y
entra.
Au
comptoir, deux clients s’attardaient. Un adolescent blond et une jeune fille
aux cheveux roses.
«Ah!
Pakkun! s’exclama Naruto.
—
Alors, comment ça s’est passé? demanda Sakura.
—
Ça pouvait pas mieux aller!
—
Donc Kakashi va bien? Sasuke-kun lui a remonté le moral?
—
Ah ça... Pour l’avoir remonter...»
Pakkun
pouffa de son jeu de mots. Mais faut dire que le demoiselle lui avait tendu une
perche. Il pouffa une deuxième fois.
—
Maiiiis! Qu’est-ce que t’as à rire bêtement? Allez, vas-y, raconte-nous! le
pressa le blondinet.
—
Ok, ok. Pas de précipitation, n’est pas aux pièces.»
Pakkun
prit une grande inspiration.
«Mais
avant, faut que je mange quelque chose.»
Deux
bruits sourds résonnèrent dans le restaurant quand les jounin se tapèrent le
front contre le comptoir.
«Naruto,
donne-lui tes nouilles, qu’on en finisse!
—
Quoi?! Mais pourquoi les miennes.
—
D’accord, j’ai compris. Tiens, fit-elle en tendant son assiette au chien.
—
Merci.»
Trois
bols de ramen plus tard, Pakkun entama son récit. Et les cris perçants de
Sakura le convainquirent bien vite de passer sur certains détails.
Les deux jounin étaient sous le choc.
«Sasuke
avec Kakashi?»
La
jeune ninja n’en revenait toujours pas.
«Ouais!
Mince, je l’aurai su avant, j’aurais tenté ma chance avec Sasuke!»
Le
blondinet était trop dégoûté.
«Quoi?
Naruto, tu...? Mais je croyais que tu voulais sortir avec moi?
—
Bah, l’un n’empêche pas toujours l’autre, tu sais, fillette, se mêla Pakkun.
—
Bon, c’est pas tout ça, mais j’ai rendez-vous avec Shikamaru pour lui annoncer
la bonne nouvelle. Il va être content d’apprendre que son plan a marché!
—
Dis, Naruto? questionna Sakura, soudain méfiante. Je me suis toujours demandé,
qu’est-ce qu’un type aussi intelligent peux trouver d’agréable à passer du
temps avec toi? Tu es beaucoup plus bête que lui.
—
Justement! Il m’aide à m’améliorer niveau tactique. Et puis dans d’autres
domaines aussi! (Arrêt. Marche arrière.) Comment ça “beaucoup plus bête”?
—
Vraiment? D’autres domaines?
—
Vi! reprit-il, un large sourire sur le visage. Tiens, il m’a dit
qu’aujourd’hui, si son plan avait marché, il m’apprendrait une nouvelle langue!»
Sakura
s’étrangla avec ses nouilles et regarda Naruto en rougissant. Il lui rendit son
regard avec de grands yeux étonnés. Apparemment, le jeune homme ne se doutait
de rien.
«Hé!
Petit! Il t’a dit ça comme ça? l’interrogea Pakkun.
—
Bah non, il avait l’air assez décidé, je pense qu’il tiendra parole.
—
Non, je veux dire, il a formulé ça de cette manière?
—
Aaaaaaaah... Non. Il m’a dit qu’il me donnerait “des cours de langue”. Pis il a
rigolé.
—
Ok, je vois. Gamin, il va falloir qu’on discute, tous les deux.»
Et
Sakura les vit partir côte à côte. Lorsqu’il passèrent la porte, le chien ninja
disait quelque chose du genre: «... sais, s’il y a des abeilles et des fleurs,
il y a aussi des escargots dans la nat...»
Et
voilà! C’est fini!
*baille
baille*
Arf,
fatiguée. Je n’ai dormi que trois heures cette nuit tellement j’avais hâte de
la terminer... Ah, tiens! Ça me fait penser! Y en a qui on vu le Grand écran
sur Harry Potter 3, ce matin? Trop dégoutée du comportement de Draco! Et dire
que je me cosplay en cette vermine... Pleutre lâche à la couardise répugnante! Mais
son père est si claaaasse! *sourire béat*
Par
contre, j’aimais pas trop l’acteur pour Remus au début, mais je commence à me
dire qu’il n’est peut-être pas si mal après tout! Faut dire qu’au départ, il y
avait des rumeurs comme quoi il serait joué par Ewan MacGregor, alors c’est
sûr, on est un peu déçu ensuite... :-P
Oui,
Pakkun, vas-y, parle. Et arrête de me
boulotter la jambe, c’est un pantalon neuf!
Pakkun:
Puisque tu m’as remis dans cette fic, je te rends la clef.
Nessae:
Bon alors, heureux mister courrier-du-cœur?
Pakkun:
Non! J’ai un rôle minuscule! Et j’ai déjà dit à Sakura de ne pas m’appeler
“mignon petit chien”, alors c’est pas pour que tu le fasses!
Nessae:
^^;;; Mais à part ça, tu es quant
même promu conseiller-es-amour du héros du manga! C’est une belle promotion,
ça, non?
Pakkun:
Tu parles, vu le gaillard qui veut lui mettre la main dessus, jsuis sûr de me
retrouver au chômdu en deux sec!
Nessae:
^^;;;;;; Et si tu allais voir les
autres fanficieuses?
Pakkun:
Pour me faire encore traiter de “mignon petit chien”? Non merci!
Nessae:
^^;;;;;;;;; Euh, Pakkun, sois poli
avec nos lectrices...
Pakkun:
Non mais c’est vrai, qu’est-ce que vous avez, vous les filles, à...
Nessae:
Et pis d’abord, Sakura t’a juste dit “petit chien”, c’est toi qu’à rajouter
“mignon”!
Pakkun:
...
Nessae:
Euh, Pakkun, c’est quoi ce regard?
Pakkun:
...
Nessae:
Et une place de conseiller conjugal à vie dans mes fics?
Pakkun:
...
Nessae:
Kakashiiiii! O’scours! Rappelle ton clébard!
...
Kakashi?
Sasuke
(ouvrant une porte): Il est occupé, je suis en train de lui apprendre ma
technique. Il ne l’a pas vraiment bien observé la dernière fois.
Nessae
(voit par l’entrebaillement de la porte):
O o
Sasuke
(refermant la porte): Débrouille-toi seule.
Nessae:
Dis, Pakkun, t’as fait des missions d’espionnage, non?
Pakkun:
Ouais.
Nessae:
Ahein... T’es engagé!
Nessae
qui se barre.
Pakkun:
Hey! Où tu crois aller comme ça?
Nessae:
Chercher ma caméra et du gros scotch!
:-P
Bouge
pas, je re! :-D